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Par reseau3gg, le 23.03.2024
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Par reseau3gg, le 15.01.2024
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Par lJacques, le 17.06.2023
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Par reseau3gg, le 04.06.2023
ma première voiture. en 1100 cm3 ! http://reseau3 gg.centerblog. net
Par reseau3gg, le 04.06.2023
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Date de création : 29.03.2011
Dernière mise à jour :
27.09.2025
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Ballade dans le monde féminin de l'automobile à travers quelques destins exceptionnels dans le monde de l'industrie et du sport, et au fil d'une histoire qui met à mal les clichés les plus sexistes sauf un: la femme objet, a priori indispensable pour assurer la promotion d'un produit qui, pourtant, n'est plus l'apanage des seuls hommes.
Le 15 janvier et pour la première fois dans l'histoire de l'industrie automobile, une femme, Mary Barra, a pris les rênes de General Motors. A 51 ans, Mrs Barra est un « pur produit GM »: études d'ingénieur dans le General Motors Institute, premier job à l'usine Pontiac de Flint ( Michigan ), MBA à Stanford ( Californie ) financé par son employeur puis carrière météorique au sein du groupe nord-américain: assistante du CEO Jack Smith, vice-présidente de l'ingénierie industrielle, patronne d'une usine de montage à Détroit et enfin CEO elle-même. La voilà désormais à la tête d'un constructeur qui emploie 213 000 personnes dans le monde pour un chiffre d'affaire de 155 milliards de dollars.
Une autre femme gère une marque automobile: le Docteur Annette Winkler préside aux destinées de Smart après avoir été notamment Directrice Générale de Mercedes-Benz Belux où sa gestion musclée avait fait trembler quelques hommes.
Loin de Détroit ou de Stuttgart, un destin qui aurait pu être lui aussi brillant s'est achevé tragiquement: pilote d'essais dans l'écurie Marussia F1 pour qui roula le belge Jérôme d'Ambrosio, l'espagnole Maria de Vilota ( 33 ans ) a perdu un œil dans un accident. Confrontée à ce handicap signifiant la fin de ses espoirs en Formile 1, la jeune femme a été retrouvée morte en octobre dernier dans une chambre d'hôtel à Séville.
Pas plus que dans l'industrie automobile, les femmes ne sont légion au sommet du sport automobile mais il y eut, et il y a encore, des exceptions notables? Ainsi, en 1958, la napolitaine Maria Teresa de Filippis a pris le départ de son premier Grand Prix à Francorchamps où elle mena sa Maserati à la 10e place, son seul résultat à ce niveau; une autre italienne, Lella Lombardi, a disputé 12 Grands Prix en 1975. Aujourd'hui, l'écossaise Suzie Wolff ( 30 ans ) est pilote d'essais dans l'écurie de Frank Williams dont l'assistante n'est autre que sa fille Claire Williams. Il s'agit d'une double affaire de famille quand on sait que le mari de la belle Suzie, Toto Wolff, est actionnaire chez Williams. De quoi susciter des commentaires parfois sarcastiques: « si Suzie était aussi rapide au volant que belle en dehors de la voiture, ce serait un atout énorme pour nous », aurait déclaré récemment Bernie Ecclestone, l'inusable boss de la F1. Réplique de la championne: « je ne suis pas ici pour prouver quelque chose sur les femmes dans le sport automobile mais je suis Suzie Wolff qui veut tout simplement réaliser son rêve de piloter en F1 ».
Da l'autre côté de l'Atlantique, une égérie des magazines de mode exploite sans complexe son double statut de pilote de haut vol et de mannequin: Danica Patrick a été la première femme à remporter une manche du prestigieux championnat IndyCar ( l'équivalent nord-américain de la F1 ), mais son look de star et ses photos dénudées l'ont fait surnommer l'Anna Kourmikova du sport automobile, en référence à l'ex-championne russe de tennis dont le physique était aussi célèbre que ses exploits sur le terrain.
Loin de ce show médiatique sur fonds d'images people, quelques femmes ont jalonné l'histoire du sport automobile belge: Gilberte Thirion, Nicole Sol, Yvette Fontaine, « christine » et plus récemment Vanina Ickx ont manié le volant avec succès. Et une française bien connue en Belgique, Michèle Mouton, a gagné quatre rallyes de championnat du monde même si elle admet que « dans ce sport de macho, freiner avant une femme est inconcevable ». Que dire de sa compatriote Simone de Pinet de Borde de Forest mieux connue sous le nom de Simone de Forest. Née en 1910 à Royans, cette jeune fille de bonne famille obtenu sa licence de pilote dès l'âge de 19 ans et disputé de nombreuses courses jusqu'en 1957. On la vit aussi au volant d'un camion de la Crix Rouge pendant la deuxième guerre mondiale et à la tête d'une école de conduite pendant 25 ans. Elle est décédée en 2004 à l'âge de 94 ans. Sa gloire aujourd'hui posthume dans l'univers francophone, elle la doit à son prénom qui a inspiré « En voiture Simone , c'est moi qui conduit, c'est toi qui klaxonne ». Guy Lux, animateur d'un jeu inter-villes populaire à l'ex-ORTF, utilisait cette expression pour s'adresser à sa partenaire Simone Garnier.
Un autre prénom féminin est devenu, lui, mondialement connu dans l'industrie automobile, celui de la jeune Mercedes Jellinek. Son père, l'homme d'affaire autrichien Emil Jellinek, avait roulé en compétition sous le nom de sa fille et, en 1902, il choisit Mercedes pour désigner sa nouvelle société d'exploitation des modèles Daimler dans divers pays dont la Belgique. Mercedes fut ensuite le nom adopté en 1903 pour les voitures produites par DMG ( Daimler – Motoren – Gesellshaft ).
Dans la vie de tous les jours, la possession et la conduite d'une voiture restèrent longtemps un apanage masculin mais au fil de l'évolution de la société et de la vie professionnelle, les femmes sont devenues de moins en moins cantonnées au siège passager. « Les femmes conduisent désormais comme les hommes, disait l'écrivain français Marcel Achard. Ce qui m'étonne, c'est qu'elles en soient fières ».
Au delà du trait d'humour, l'affirmation prête à discussion car la plupart des femmes n'ont pas la même approche de la conduite que les hommes qui ont tendance à attribuer à l'usage de la voiture d'autres valeurs, y compris liées à leur virilité. Quitte à admettre la prise de risques si elle sert leur besoin de domination. « Cette attitude met les femmes en colère, confie une psychologue, par exemple lorsqu'elles vient leur compagnon se presser au train des voitures qui les précèdent » . Les femmes ne seraient-elles pas agressives au volant ? « Si, mais elles s'en tiennent aux violences verbales. Leur orgueil, elles le placent ailleurs, notamment dans leur capacité à donner la vie. Moins individualistes, elles sont aussi plus respectueuses des règles et plus attentives aux autres. »Aux États-Unis, une étude du puissant groupe AAA ( American Automobile Association ) basée sur le nombre de kilomètres et une population où les permis de conduire sont répartis à égalité entre les deux sexes, a fait apparaître que les hommes avaient 78% de risques de plus que les femmes de se tuer au volant.
Quid des choix automobiles de la gente féminine ? On la dit plus sensible à l'espace intérieur et à la protection qu'offre le véhicule qu'au nombre de chevaux et aux lignes phalliques de la carrosserie. Mêmes jeunes, elles s'orientent davantage vers une familiale susceptible de répondre à leurs besoins de future mère. Y aurait-il donc des voitures pour femmes ? A regarder dans le trafic, on pourrait relever certaines tendances, mais les spécialistes du marché automobile restent dubitatifs: « en imaginant une voiture de femmes, dit l'un d'eux, on se priverait de la moitié de la clientèle potentielle ! Et puis, c'est une fausse idée d'enfermer les femmes dans des stéréotypes car pour elles aussi, l'achat est d'abord lié aux besoins et au budget. En outre et selon plusieurs importateurs, il n'existe pas de campagnes de pub destinées à vanter un achat féminin ni, officiellement du moins, de statistiques de ventes liées au sexe ».
Reste une évidence, l'omniprésence de la femme dans la publicité. Qu'il suffise de rappeler le buzz réalisé par Carla Bruni posant langoureusement dans une voiture italienne, surtout lorsqu'elle a officialisé sa liaison avec Nicolas Sarkozy ! D'autres exemples: une édition spéciale du Range Rover Evoque a adopté les initiales de Victoria Beckham; l'image d'Axelle Red est associée en Belgique à la Renault Zoe électrique; ou encore Opel vient de faire appel à Claudia Schiffer pour promouvoir les qualités allemandes de la marque sur le thème « It's German ».
N'en déplaise aux mouvements féministes et à certaines de nos ministres, ce n'est pas demain que la femme ne servira plus d'appât à l'automobile encore associée – à tort ?- à un univers machiste. Le salon de Bruxelles et ses hôtesses l'ont vraiment confirmé.
Texte de Yves de Partz.
C'est long hein !!!!
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Jacques.
L'avantage des salons on y voit de très belles carrosserie... N'es ce pas ?
http://reseau3gg.centerblog.net
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